DES GENS DIFFICILES
Dans le livre intitulé God in the Dock, l’auteur C. S. Lewis décrit le genre de personnes avec qui nous avons du mal à nous entendre. L’égoïsme, la colère, la jalousie ou d’autres travers minent souvent notre relation avec elles. Nous nous disons parfois : La vie serait beaucoup plus facile si on n’avait pas affaire à des gens aussi pénibles.
DES GENS DIFFICILES
Dans le livre intitulé God in the Dock, l’auteur C. S. Lewis décrit le genre de personnes avec qui nous avons du mal à nous entendre. L’égoïsme, la colère, la jalousie ou d’autres travers minent souvent notre relation avec elles. Nous nous disons parfois : La vie serait beaucoup plus facile si on n’avait pas affaire à des gens aussi pénibles.
UN ACCÈS SÛR
Le Mont Saint-Michel est une île intertidale située à presque un kilomètre des côtes de la Normandie, en France. Pendant des siècles, l’abbaye et le monastère qui le coiffent ont attiré des pèlerins. Jusqu’à ce que l’on construise une route en remblai y menant, ce mont était célèbre pour son accès périlleux ayant causé la mort de certains pèlerins. À marée basse, il est entouré de bancs de sable ; à marée haute, il est entouré d’eau. On craignait donc d’accéder à cette île.
UN ACCÈS SÛR
Le Mont SaintMichel est une île intertidale située à presque un kilomètre des côtes de la Normandie, en France. Pendant des siècles, l’abbaye et le monastère qui le coiffent ont attiré des pèlerins. Jusqu’à ce que l’on construise une route en remblai y menant, ce mont était célèbre pour son accès périlleux ayant causé la mort de certains pèlerins. À marée basse, il est entouré de bancs de sable ; à marée haute, il est entouré d’eau. On craignait donc d’accéder à cette île.
SE SENTIR ENCHAÎNÉ ?
Boèce a vécu en Italie au VIe siècle, où il a servi à la cour royale en sa qualité de politicien des plus habiles. Malheureusement, il est tombé en disgrâce auprès du roi, qui l’a accusé de trahison et l’a fait jeter en prison. En attendant son exécution, Boèce a demandé qu’on lui fournisse de quoi mettre ses réflexions par écrit. Plus tard, celles-ci sont devenues un classique spirituel durable portant sur la consolation.
SE SENTIR ENCHAÎNÉ ?
Boèce a vécu en Italie au VIe siècle, où il a servi à la cour royale en sa qualité de politicien des plus habiles. Malheureusement, il est tombé en disgrâce auprès du roi, qui l’a accusé de trahison et l’a fait jeter en prison. En attendant son exécution, Boèce a demandé qu’on lui fournisse de quoi mettre ses réflexions par écrit. Plus tard, cellesci sont devenues un classique spirituel durable portant sur la consolation.
UN TENDRE SOIN
Max exploite une petite ferme pour le plaisir. Un jour, à sa grande surprise, il a trouvé un veau nouveau-né parmi ses vaches ! À l’achat du troupeau, il ignorait que l’une d’elles était en gestation. Malheureusement, la vache concernée est morte des suites de complications peu après avoir mis bas. Max a immédiatement acheté du lait en poudre pour nourrir le veau au biberon. « Le veau me prend pour sa mère ! » disait-il. L’histoire attendrissante du nouveau rôle que Max a dû jouer auprès du veau me rappelle la façon dont Paul s’est comparé à une mère aimante dans sa relation avec les croyants de Thessalonique : « [Mais] nous avons été pleins de douceur au milieu de vous. De même qu’une nourrice prend un tendre soin de ses enfants » (1 Th 2.7). En enseignant aux gens, Paul se montrait attentionné envers eux. Il savait que, pour grandir spirituellement, les croyants avaient besoin du « lait spirituel et pur » (1 Pi 2.2). Il a également prêté une attention particulière à ceux dont il avait la responsabilité : « Vous savez aussi que nous avons été pour chacun de vous ce qu’un père est pour ses enfants, vous exhortant, vous consolant, vous conjurant de marcher d’une manière digne de Dieu » (1 Th 2.11,12). En nous servant les uns les autres, puissions-nous agir avec la tendresse de notre Sauveur, nous encourageant à persévérer dans notre cheminement spirituel (Hé 10.24).
UN TENDRE SOIN
Max exploite une petite ferme pour le plaisir. Un jour, à sa grande surprise, il a trouvé un veau nouveau-né parmi ses vaches ! À l’achat du troupeau, il ignorait que l’une d’elles était en gestation. Malheureusement, la vache concernée est morte des suites de complications peu après avoir mis bas. Max a immédiatement acheté du lait en poudre pour nourrir le veau au biberon. « Le veau me prend pour sa mère ! » disaitil. L’histoire attendrissante du nouveau rôle que Max a dû jouer auprès du veau me rappelle la façon dont Paul s’est comparé à une mère aimante dans sa relation avec les croyants de Thessalonique : « [Mais] nous avons été pleins de douceur au milieu de vous. De même qu’une nourrice prend un tendre soin de ses enfants » (1 Th 2.7). En enseignant aux gens, Paul se montrait attentionné envers eux. Il savait que, pour grandir spirituellement, les croyants avaient besoin du « lait spirituel et pur » (1 Pi 2.2). Il a également prêté une attention particulière à ceux dont il avait la responsabilité : « Vous savez aussi que nous avons été pour chacun de vous ce qu’un père est pour ses enfants, vous exhortant, vous consolant, vous conjurant de marcher d’une manière digne de Dieu » (1 Th 2.11,12). En nous servant les uns les autres, puissionsnous agir avec la tendresse de notre Sauveur, nous encourageant à persévérer dans notre cheminement spirituel (Hé 10.24).
NE FAITES DE MAL À PERSONNE
Bon nombre de gens considèrent Hippocrate, médecin grec de l’Antiquité, comme le père de la médecine occidentale. Il a compris l’importance d’adhérer à des principes moraux dans la pratique de la médecine, et c’est à lui qu’on attribue le serment d’Hippocrate, qui sert encore de guide d’éthique aux médecins d’aujourd’hui. Un concept clé de ce serment : « Ne jamais mettre en péril la santé du patient ». Cela laisse entendre que le médecin ne fera que ce qui avantage ses patients.
LA LUMIÈRE DE L’AGNEAU
Pendant d’innombrables générations, les gens ont compté sur le soleil et la lune pour s’éclairer durant le jour et la nuit. Que ce soit en illuminant notre chemin ou en nous fournissant la lumière dont toute bonne récolte dépend et la nourriture dont notre corps a besoin, le soleil et la lune contribuent à la merveilleuse lumière que Dieu nous procure en abondance. Le livre de la Genèse nous dit que le Seigneur a donné « le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit » (1.16).